jeudi 3 août 2006

Mel Gibson, le chrétien de la honte

Ces jours-ci, le cinéaste et acteur Mel Gibson se trouve dans l'embarras. C'est qu'il a fêté un peu trop, alcool, femmes, etc., pour ensuite se faire intercepter par les autorités policières, alors qu'il était au volant de sa voiture, en raison de sa conduite en état d'ébriété. Mais, pour ajouter l'insulte à l'injure, M. Gibson s'est permis de lancer des propos antisémites! (voir l'article dans Cyberpresse.com)

Le propos de mon post n'est pas d'être injuste envers Mel Gibson, mais d'être juste à l'égard de la vérité de l'Évangile. Car Mel Gibson, par son film La Passion du Christ, a publiquement confessé son christianisme. Mais voilà que ses déboires personnels viennent ternir ce témoignage chrétien qu'il avait pourtant réussi à imposer dans les milieux artistiques d'Hollywood. Sa situation actuelle, son alcoolisme et sa vie désordonnée, est vraiment triste à voir, mais cela est encore plus triste pour la cause de l'Évangile. Les journalistes n'ont d'ailleurs pas manqué de nous le rappeler, en nous montrant à la télévision des scènes du film La Passion du Christ, comme pour ne pas nous faire oublier que ce film est l'œuvre de ce même Mel Gibson, qui fait maintenant face à la justice.

Cet événement nous rappelle cependant une vérité: Que ceux qui enseignent seront jugés plus sévèrement (Jacques 3.1).

4 commentaires:

Anonyme 3 août 2006 à 11:10  

Bien que le film La Passion du Christ nous ait montré un Mel Gibson religieux. Il me semble que ses actions de la dernières semaines ne devraient pas nous étonné. La Passion du Christ c'est une chose mais la majorité de ce qu'il a fait avant laisse grandement à désiré pour quelqu'un qui fait profession d'être "chrétien".

Anonyme 3 août 2006 à 11:26  

Tu as bien raison, Georges, car si nous considérons sa carrière, plusieurs de ses films ne sont pas dignes d'un chrétien.

Anonyme 7 août 2006 à 06:50  

C'est tooujours la même histoire de paille et de poutre !

Anonyme 7 août 2006 à 07:15  

Merci, Laurent, pour ton commentaire. (1 Co 5.9-10)